C’est l’histoire
d’un vieux couple dont la femme subit le calvaire depuis plusieurs années, tant
son époux est un salaud de la pire espèce.
Quand le mari
exécrable vient finalement à mourir, la femme téléphone au journal local pour
qu’on insère un faire-part nécrologique.
« Vous mettrez tout
le baratin habituel », dit-elle au standardiste, puis elle ajoute, « Mais
surtout, mettez bien qu’il est mort d’une blennorragie ! »
Le jour des
obsèques arrive.
Une vieille amie
vient s’informer :
« Dis-moi ma pauvre chérie, j’ai lu le faire-part nécrologique sur le journal… Ils ont dû se tromper ? On y dit que ton mari est mort d’une blennorragie… Tu m’avais pourtant dit qu’il souffrait d’une entérite suraiguë ces derniers temps »
« Dis-moi ma pauvre chérie, j’ai lu le faire-part nécrologique sur le journal… Ils ont dû se tromper ? On y dit que ton mari est mort d’une blennorragie… Tu m’avais pourtant dit qu’il souffrait d’une entérite suraiguë ces derniers temps »
La veuve répond :
« Effectivement, il est bien mort d’une diarrhée que les médecins n’ont pas pu guérir… Mais j’ai pensé que ce serait mieux que les gens se souviennent de lui comme d’un amant volage plutôt que de la grosse merde qu’il a toujours été. »
« Effectivement, il est bien mort d’une diarrhée que les médecins n’ont pas pu guérir… Mais j’ai pensé que ce serait mieux que les gens se souviennent de lui comme d’un amant volage plutôt que de la grosse merde qu’il a toujours été. »
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